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Marie-Ève Martel

Marie-Ève Martel

Journaliste

La Voix de L’Est

De la simple urne funéraire à un portrait détaillé de l’animal, en passant par des bijoux réalisés avec des poils, les manières d’honorer la mémoire de pitou, minou et alouette sont multiples. Surtout, elles font du bien, nous confient les artisans qui se disent privilégiés de recueillir les confidences de ces amoureux des animaux éplorés.

Extrait : 

Artiste peintre derrière Artémo, Christine Bélanger calcule que les toiles commémoratives, qu’elles représentent des humains ou des animaux, représentent environ 75% de toutes ses commandes.

Selon Christine Bélanger, la clientèle sait qu’elle ne sera pas jugée, mais plutôt accueillie avec sa peine, auprès de l’artiste. « Ils savent qu’on va comprendre, qu’on a l’empathie pour l’épreuve qu’ils traversent, indique-t-elle. Moi-même j’ai perdu un animal, je sais à quel point ça peut être douloureux. Les gens vont vers l’expérience qui va les réconforter. Il y a quelque chose dans le processus qui apaise la personne endeuillée et qui crée un lien fort et émotif avec nous en même temps. C’est gratifiant et émouvant à la fois. »

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